Le blocage du passage de Guergerate et l’envoi des milices du "polisario" en y incluant des civils au bord du Dispositif de défense menacent la paix et la stabilité dans la région et mettent en péril la pérennité du cessez-le-feu en vigueur depuis 1991, souligne l’auteur de l’article, Mohit Dubey.
Il s’agit là, selon la même source, d’actes de défiance manifeste vis-à-vis du Secrétaire général de l’ONU qui a appelé à maintes reprises à la préservation de la liberté de circulation des biens et des personnes dans la zone tampon de Guergarate.
Ce blocage s’est associé d’actes de destruction de la route reliant les postes-frontière marocain et mauritanien, ainsi que de provocations à l’endroit des membres des Forces Armées Royales, fait observer M. Dubey.
De tels agissements, a-t-il dit, ne peuvent être justifiés que par l’échec récurrent de la "rasd" et ses alliés dans le concert des Nations et ses tentatives désespérées d’imposer le fait accompli et de saper la légitimité juridique et historique du Maroc sur son Sahara.
L’article, rappelle, que le Conseil de Sécurité a fermement rejeté ces agissements dans les cinq résolutions qu’il avait adoptées depuis 2017, en exigeant le retrait immédiat du polisario de la zone tampon, au grand dam des adversaires de l’intégrité territoriale du Royaume.